Attaques nocturnes à la tronçonneuse et autres
Nous avons installé, pour manifester notre opposition, des panneaux sur des terrains privés avec l’accord des propriétaires.
Plusieurs dégradations ont été constatées. Voici les dernières en date du 21 Mai 2022
Comme vous pouvez le constater, le projet éolien “citoyen” a des partisans d’une grande responsabilité! Un jeune en scooter aurait pu se blesser (ou pire) sur ces arbres laissés au milieu de la route.
Attention, nous parlons bien de partisans et non d’adhérents pour éviter toute diffamation potentielle. Mais pas de doute, ce ne sont pas des opposants au projet éolien.
Les arbres ont été coupés à la tronçonneuse en pleine nuit et laissés au milieu de la chaussée. La responsabilité du propriétaire peut être engagée en cas d’accident de la circulation…
Tout ça pour un projet “citoyen”, pour une énergie “verte”, renouvelable, “écologique” selon les “maires-promoteurs”, et voici les photos que nous avons à mettre en face: Ecologie? Vraiment? (tous les guillemets auraient dû vous mettre la puce à l’oreille).
Pour protéger notre droit d’expression, indispensable à notre démocratie, nous avons effectué un dépôt de plainte en gendarmerie qui a été étayé par ces photos, mais également par des vidéos de surveillance ou l’on voit distinctement 2 individus. Les autorités feront leur travail. Un appel à témoin sera diffusé prochainement sur les réseaux sociaux. Les gendarmes attendent avec impatience toute réclamation du droit à l’image. (Si, concernés, vous nous lisez, n’hésitez pas à vous dénoncer à la gendarmerie de Combronde, pour gagner un peu de temps).
C’est donc un climat qui se tend un peu plus entre les habitants de nos villages, à regret bien évidemment, ce qui confirme une fois de plus que ce projet n’a rien de citoyen, mais qu’il est bien un projet d’implantation d’un parc éolien comme un autre. Amis villageois, unissez-vous contre le projet qui nous divise!
Notre ministre de la transition écologique a déclaré récemment vouloir mettre un frein à l’éolien terrestre en prenant notamment en considération la contestation croissante sur notre territoire national. C’est ce que nous vivons aujourd’hui dans nos villages, à ceci près que c’est porté par nos élus!